MY QUEST • j'ai un problème brun d'un mètre soixante-dix
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 |  Sujet: Re: Oakley ♦ vous avez demander un homme, un vrai ? Mar 18 Mai - 20:22 | |
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24 Mai 1989 #
Je commencerais bien par vous raconter ma naissance. Je pense qu'il vaut mieux commencer par le début. Et, donc, ce 24 Mai 1989, ce fut une course contre la montre qui s’annonça. Alors que mes parents faisaient une baby shower en mon honneur, Pénélope perdit les eaux. Sur ce fait, il fallut renvoyer tous les invités chez eux, et Penny et Heath, laissant la maison aux parents de celle-ci, s’en alla en hâte à l’hôpital de la ville. Elle fut acceptée de suite en salle de travail puisque selon les infirmières, je pointais déjà un petit bout de ma tête. Je voulais donc sortir très vite et découvrir le monde extérieur. Pourtant, ce fut au bout de deux heures, que l’on put déclarer ma naissance. Mais tout ne fut pas si beau. Je ne poussai pas mes cris de suite. Alors que mes parents s’inquiétèrent, la sage femme me secoua un peu pour me faire réagir. Durant quelques minutes je fichu la trouille à mes parents mais tout redevint normal lorsque mon premier cri fut poussé. Et croyez-moi, ce fut loin d’être le dernier. Pénélope et Heath avait déjà trouvé mon petit nom. Oakley Dimitriev Lennon, ce fut comme ca que j’allais m’appeler durant mes soixante prochaines années. Je n'étais pas le premier enfant des Lennon. Il avait déjà une petite fille de 11 mois, Gertrude qui était donc ma grande soeur. puis quatre mois déjà. Il m'avait fallu deux heures pour venir au monde, alors que pour ma sœur, elle n'avait eu besoin que de dix minutes. Je pense que c'est depuis ce jour que ma mère me rappelle souvent que je suis le plus casse-cou des trois. Oui, car un deuxième garçon fera son apparition plus tard; mais bien sûr, à ce moment là, personne n'était encore au courant.
13 Mai 1991 #
Oakley ▬ Mais maman, j’en veux pas de petit frère, j’en ai déjà assez avec Gertrude.
Maman ▬ Tu vas l’aimé, j’en suis sure mon trésor.
Oakley ▬ Okay mais je veux choisir son prénom.
Maman ▬ Okay mon chéri.
Alors que ma sœur et moi regardions des bonshommes animés, nous venions d’avoir un petit frère qui se nommait Dagobert. J'avais décidais de demander à ma mère de nommer mon frère ainsi. Ma mère lui donna ce nom mais elle lui en donna un autre un peu plus normal pour l’école et tout. Depuis qu’il est né, je suis obligé de l'appeler ainsi. Je suis le seul à l’appeler ainsi mais le jeune homme l’adore ainsi. Au début, alors que je n'avais que deux ans, je n'était pas trop content que ma mère soit de nouveau enceinte, mais le pire fut quand elle m'annonça que j'allais avoir un petit frère. Je n'arrivais déjà pas à supporter Gertrude, il fallait qu'un nouvel enfant fasse son apparition. Bon, bizarrement, j'ai été très proche de lui comparé à Gertrude, peut-être était-ce car il était différent de moi. Cette journée fut si longue, surtout pour des enfants de trois et deux ans. Notre père nous avait placés dans la salle de jeu, tandis que ma mère accouchait. Puis, il y eu les premiers soins à donner à Dagobert. Ce ne fut qu'au bout de trois heures que nous pouvions enfin découvrir la petite bouille de notre frère. Un moment magique pour un gamin de deux ans.
Pourtant, ce jour devait être un magnifique jour mais ce ne fut pas le cas. Après de longues minutes passés à regarder Dagobert avec mon père, ma sœur demanda après notre mère. Mon père pleurait tout en regardant notre petit frère, qui étais sous la couveuse. Ma sœur et moi pensions que c'était pour l'arrivée de notre petit frère, car elle même avait versé quelques larmes devant sa magnifique bouille. Mais, ce n'était pas du tout à cause de cela. Mon père s'assit sur la chaise qui basculait par devant et par derrière, à coté de moi, et prit Gertrude sur ses genoux.
Papa ▬ Vous savez mes amours, il y a des choses qu'on ne contrôlent pas. Il arrive de magnifiques choses dans la vie, comme l'arrivée de votre petit frère, et des choses qui sont moches. Et, aujourd'hui il est arrivé ces deux choses. Votre maman était malade, elle est partie au ciel après avoir donné la vie à Dagobert. Vous allez devoir être grands mes enfants, on va devoir s'occuper de votre petit frère à trois.
Je ne comprenais pas tout de suite mais en grandissant sans ma mère, je ne mis pas longtemps à m'apercevoir de la dure réalité. Nous l'avions promis à mon père, nous l'aiderions à élever Dagobert, et aujourd'hui encore, je suis derrière lui pour parcourir chaque étape de sa vie. Auprès de ma soeur et mon frère, je grandis tel un petit ange qui ne manquait pas une occasion pour prouver qu’il pouvait être aussi un petit diable.
14 Février 2002 #
J'avais trouvé la meilleure des dates pour déclarer mon amour à la femme que j'aimais le plus. Cela faisait un an que je la courtisais mais impossible de sortir avec. Je n'osais pas lui dire tout simplement le "je t'aime" tant attendu donc elle ne voulait pas sortir avec moi. Elle n'était pas sur de mes sentiments et préférait en restait là. Mais, un an après, me rendant compte de l'amour que j'avais pour elle, et dû fait que je ne pouvais l'oublier, je pris enfin les devants et je lui déclarai ma flamme. Ce fut un long discours que j'avais parcouru en long et en large et je ne lui avais pas laissé le temps pour qu'elle réponde à ma sérénade que je l'embrassais déjà. Un des plus beaux moments de ma vie puisque ce fut le jour où cette magnifique fille au doux prénom de Cunégonde devint ma petite copine.
Ce fut aussi un des jours les plus horribles de ma vie. J'appris ce jour-là que mon père allait se marier dans les mois qui suivent avec sa nouvelle bimbo qui envahissait toute la maison avec ses affaires. Une de ces blondes, avec la poitrine refaite au moins dix fois, le visage sans expression tellement il est passé au botox et surtout la femme qui a trente ans de plus que toi et qui pense qu'elle peut faire amie-ami avec toi. Nan, mais elle me prend pour qui elle. Elle pense qu'elle va prendre la place de ma mère, et ben ça elle peut rêver. Depuis que cette bimbo, blonde aux gros seins habite chez nous, mon père a déplacé toutes les affaires de maman pour les mettre dans le grenier. Mais, ce qu'il ne sait pas, c'est que Gertrude, Dagonbert et moi, nous avons tout été récupérer et tout trainent dans nos chambres maintnant. Elle ne pourra jamais effacer Pénélope Justine Davis, de son nom de jeune fille, ma mère et femme de mon père. Puisque quand la personne meurt et est mariée, on ne dit pas que le veuf est divorcé mais qu'il a perdu sa femme, sa femme. Elle demeurera sa femme jusqu'à l'infini alors la blonde, elle va vite dégager de chez moi celle là.
20 Octobre 2002 #
Oakley ▬ Gertrude, t’aurais pas un préservatif en réserve ?
Gertrude ▬ Attends, ce n’est pas le mec qui est censé en avoir ?
Oakley ▬ Si mais tu vois, on a eu un bug et le dernier qui me restait, et ba …
Gertrude ▬ P’tètre que papa il en a, demande lui.
Oakley ▬ Ahah, pour me taper la honte ? Nan merci. M’enfin si tu ne m’en passes pas, je pourrais très bien raconter tes exploits à P…
Gertrude ▬ Nan nan, ok, tu as gagné, tiens, en voilà, deux.
Oakley ▬ Merci sœurette.
Gertrude ▬ Mouais.
J'avais quatorze ans et pour la première fois de ma vie, je prévoyais de passer à l'acte avec ma petite amie. Oui, vous savez, Cunégonde à qui j'avais déclaré ma flamme presque sept mois auparavant. Cela allait notre première fois à tous les deux, et j'avais prévu cela comme un grand événement, comme l'événement majeur de ma vie. A ce moment là de ma vie, je ne savais pas encore que ce ne serais pas la dernière fois que je coucherais et aussi pas la dernière fille mais à ce moment là, je profitai comme un dingue. Le fait que nos deux corps se touchent, que nos regards se comprennent instinctivement sans que l'on soit besoin d'ouvrir la bouche, l'enchaînement. Tout était parfait. C'était exceptionnel.
05 Janvier 2003 #
La plus belle des histoires venait de se terminer. C'est moi qui ai mis fin. Notre relation était idyllique depuis le début. Nous nous aimions plus que tout mais depuis quelques semaines, ce n'était plus aussi beau qu'au début. J'avais remarqué que depuis quelque temps Sophia avait changé. Je ne connaissais pas la raison et à chaque fois que j'essayais de lui en parler, elle se braquait obligatoirement. J'avais besoin de savoir pourquoi elle était comme cela mais impossible de le savoir. J'étais effondrée ce jour là de devoir lui annoncer notre rupture. Plus rien ne pouvait me consoler. Je l'aimais plus que tout ce petit bout de personne, mais je ne pouvais plus continuer ainsi. J'avais envie, et déjà à mon âge, d'imaginer mon futur avec lui. Cela faisait bientôt un an que l'on était ensemble. Bien sur, durant ces un an, tout n'avait pas été si beau et si rose, il y avait eu des disputes et une ou deux séparations mais l'on était toujours revenu à ce qu'on était. Un petit couple, un des plus beaux couples de cette ville. Un an de bonheur, un an de complicité et d'amour. Un an parti en fumées en une seule soirée et à cause de moi. Je l'aimais tellement mais je dû mettre un terme à notre histoire. C'est à ce moment là que j'ai pris mon rôle de play-boy au sérieux et que j'ai collectionné les filles. Mais, à ce moment-là, je ne savais pas encore que j'allais me marier avec elle quelques années plus tard.
24 Novembre 2004 #
Un an après notre séparation, Cunégonde et moi, nous nous étions retrouvés lors d'une fête d'un ami commun. On ne s'était plus revu depuis notre séparation, et au premier coup, j'avoue ne pas l'avoir reconnu mais avoir eu un coup de foudre directement pour elle, tout comme Cunégonde. On a dansé toute la soirée sans se donner nos prénoms respectifs. J'ai dansé avec mon premier amour toute la soirée sans m'en rendre compte. Sophia m'avait reconnu, elle, mais elle n'avait voulu rien dire, elle s'amusait de cette situation m'avoua-t-elle plus tard. Quand je me suis rendu compte de son identité, j'étais dans tous mes états. Elle que j'avais aimé si fort, si longtemps et avec toutes mes tripes se retrouvait aujourd'hui devant moi et j'avais l'impression de retomber amoureux. Nous avons repassé toute une année à se redécouvrir et à s'aimer comme des fous. A ce moment-là, j'avais une copine et je l'ai quitté en pensant fort que Cunégonde était la femme de ma vie. C'est d'ailleurs pour cela que j'ai pris mon courage à deux mains et que je l'ai demandé en mariage. C'était une magnifique soirée au bord de mer, devant un coucher de soleil. La meilleure soirée de ma vie. Nous nous sommes mariés le 17 Juin 2005.
25 novembre 2006 #
Plus d'un an après notre mariage somptueux que nous avions organisé, ce fut le drame. Nous avions tous pour être heureux mais ce fut la deuxième rupture pour notre couple. Mais sur ce coup là, ce ne fut pas moi qui mit fin à notre relation mais Cunégonde. Un matin, alors que je venais de me réveiller, je la voyais en pleurs et prise de panique. Elle faisait ses valises, ou plutôt jeter ses affaires dans sa valise. J'avais l'impression d'assister à un ouragan dans ma propre maison. Elle a pris toutes ses affaires, et une fois réunis dans trois grosses valises, elle se dirigea vers la sortie. Je n'eut juste le temps de la rattraper pour lui demander des explications. Elle a juste tenu à me dire qu'elle m'aimait mais qu'elle devait partir pour notre bien. Pour notre bien, vous avez bien entendu. Le fait qu'elle me quitte et que quelque semaines après, j'avais les papiers de divorce dans mes mains m'avait fait faire une très grosse dépression, mais elle avait osé partir en me disant qu'elle le faisait pour notre bien. Je ne me suis jamais remis de cette rupture, de ce divorce. Même si j'étais encore jeune, et pas près à former une famille, tout comme aujourd'hui d'ailleurs, j'étais sur que d'ici les années à venir, l'envie allait bien se manifester. Mais ce qu'elle m'a fait, je ne l'oublierais jamais. Je ne connais même pas la réelle raison de son départ. Je l'aime encore aujourd'hui mais je ne le dirais plus. J'ai fait une promesse ce jour là : jamais plus je ne tomberais amoureux dans ma vie.
10 Mai 2010 #
Cela fait bientôt quatre ans que mon histoire avec Cunégonde est terminée et je n'ai toujours pas réussi à le digérer. Malgré tout, je l'ai toujours aimé mais je devais oublier mon amour pour elle. Donc, j'ai fréquenté d'autres filles, c'était des relations pas du tout sérieuses, je préfère de loin les relations d'un soir maintenant. Ma soeur et mon frère n'aiment pas me voir comme ça alors ils essayent de me faire rencontrer des filles, mais j'arrive toujours à les mettre dans mon lit et à ne plus les rappeler. Il fallait que je change d'air pendant quelques semaines, et après un mois passé loin d'ici, nous revenons, Gertrude, Dagobert et moi. A mes dix-huit ans, j'ai acheté une petite maison dans la ville et depuis j'y habite toujours. Ma soeur habite dans la même rue que moi. Tant qu'à mon frère, je l'ai receuilli à ses seize ans car il ne supportait plus notre "belle-mère". Je suis épanoui au niveau de ma famille et de mes amis. Tant qu'à l'amour, je ne compte plus tombé amoureux, cela s'est fini pour moi, enfin c'est ce que je crois.
Dernière édition par Oakley D. Lennon le Mar 18 Mai - 23:58, édité 5 fois |
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| | Sujet: Re: Oakley ♦ vous avez demander un homme, un vrai ? Mar 18 Mai - 20:28 | |
| DEMI 
Merci beaucoup, je finis ma p**** de sciences physique et je fais ma fiche illico !
Peux-t-on quand même me le réserver please ?
Puis, je sais que je ne suis même pas encore officiellement un membre de ce forum mais si tu as besoin d'aide au niveau de la gestion du forum, je suis à ta disposition car je vois que tu es la seule reine sur PEACE. |
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je devrais bientôt faire un recrutement ! ^^